Assez beau, réservé, avec une douce voix, il cachait sous cette apparence avenante un caractère farouche à l’origine de notre attirance mutuelle, car nous nous savions tous deux condamnés à une existence misérable.
Il m’avait proposé de m’en acheter un, mais j’avais refusé, car cela m’avait paru trop intime, comme un rappel constant de ce que nous étions et n’étions pas l’un pour l’autre.
I’ve been playing random duos on eu servers so I can practice my French with native speakers and it’s going well so far
#french#learning french#fortnite #ppl rarely use their mic’s so it kinda sucks #but when they do and they speak french #i’m so hyped! #it’s worth the slight lag
So once again I apologize for disappearing for a while. I see a lot of chaos has happened, as expected
#interview with the vampire #french #lestat x louis #louis de pointe du lac #the vampire chronicles #vampire#vampire chronicles#claudia #lestat de lioncourt #the vampire lestat
Portrait de la Comtesse de Kergolay. Claude-Marie Dubufe (French, 1790-1864). Oil on canvas.
Inscribed with the ‘Coat of arms of the de Kergolay family and with the motto 'Aide-toi Kergolay et Dieu t'aidera’ (upper left). Debufe debuted in the Salon in 1810. By 1830 he moved away from allegorical work to devote himself entirely to portraits. He had huge fashionable appeal and exhibited over 150 portraits in the Salon.
Pour tous les Francophones de ce site, il y a un nouvel anime qui vient de sortir sur Netflix : High-sky survival. C’est assez sanglant et violent mais hyper sympa :) Je dis pas ça parce qu’une de mes amies proches est l’une des auteurs de la version française, hein :P
Aujourd'hui, je veux dire, hier, j'ai vu une fille enchantée dans le bus. Ses yeux gris, oh seigneur!, des perles précieuses. Mais ses deux autres yeux étaient recouverts d'un fin tissu blanc. Quel merveilleux regard rose!
« Entrisme » ou « relations tout à fait normales » ? Enquête sur la French Connection de Huawei à Paris
Par Solenn de Royer et Nathalie Guibert Publié aujourd’hui à 02h56
Réservé à nos abonnés
EnquêteLe groupe chinois de télécommunications, leader mondial de la 5G, multiplie depuis des années les initiatives de lobbying en France. Son but : gagner la confiance des décideurs politiques.
Elle apparaît dans un décor familier d’appartement bourgeois parisien, portant une veste bleu sombre, sans…
Sarkozy admits to appealing his prison sentence to the European Court of Human Rights
Sarkozy admits to appealing his prison sentence to the European Court of Human Rights
Former French President Nicolas Sarkozy admits to having appealed to the European Court of Human Rights against his sentence to three years in prison, including one in effective prison, for corruption and influence peddling.
In an interview with the daily Le Figaro, published today, Sarkozy criticizes “the deep and shocking injustice of the process initiated” against him in French justice ten…
Epuisé
par cette journée de fous, je m’endormis oubliant de passer voir Tatiana.
Cependant, j’appelai sa mère qui apporta des nouvelles plutôt sereines. Bien
qu’elle fût toujours dans un état dépressif, elle commençait petit à petit à
retrouver goût à la vie. Grâce à ma belle-mère, je pus discuter avec Tatiana par
téléphone. Je racontai l’effroyable découverte dans le jardin sans préciser l’origine
des corps. Par contre, sa première réaction m’interloqua :
-
Comment
va le chat ?
-
Je
ne l’ai pas revu depuis un bon moment, mentis-je.
Je
n’avais pas envie d’entrer dans de grandes explications. Dès lors, nous
continuâmes quelques banalités finissant par un « je t’aime » et « moi
aussi » qui me donna la force de surmonter la fausse-couche. Je promis de
passer la journée avec elle le lendemain. Entre-temps, les gendarmes étaient
partis laissant le jardin dans un état déplorable. De plus, je compris qu’ils n’avaient
pas fini en découvrant quelques rubalises autours de certains trous. D’ailleurs,
je fus prévenu de la présence d’une patrouille devant la maison afin d’éloigner
les curieux car il y en avait du monde à passer la tête et à s’interroger sur
le ramdam provoqué par les recherches.
Mon
corps s’effondra sur le lit d’une des nombreuses chambres d’amis. Je n’avais
pas encore pu laver le lit dont les draps et le matelas gardèrent une poisseuse
humidité suite à la perte des eaux. Je n’en voulais certainement pas à mon
amie, mais je ne me sentais pas capable de dormir dedans. Aussi, je choisis une
chambre du second étage, là où je n’avais pas encore mis les pieds. Les chambres
se ressemblaient plus ou moins à quelques différences près.
En
un rien de temps, je partis dans les bras de Morphée. Je dormis un bon moment
avant d’entendre un appel qui me fit sursauter. Je levai la tête et fus étonné
de voir enfin le visage de ce personnage si insaisissable.
-
Joseph,
mon ami tu devrais venir voir… Ils commencent.
La
jeune femme au chignon blond portait une tenue très sexy exhibant un porte-jarretelle
noir ainsi qu’une nuisette légèrement démodée. Elle se pencha dans le but de
mieux observer à travers la serrure de la porte. A ma connaissance, elle lorgnait
dans une salle de bain. Aussi, sans parler, je me levai doucement et approchai.
-
Je
te jure, ça vaut le coup, ajouta-t-elle.
Tout
en souriant, elle se poussa mais en découvrant qu’elle n’avait pas à faire à la bonne personne, son sourire disparut de
son visage laissant à la place une bouche entrouverte pleine d’étonnement. Elle
ne dit rien me laissant regarder. De l’autre côté de la porte, je remarquai la
présence d’un lit sur lequel un couple copulait. Elle chevauchait son amant
allongé. Ses hanches, son dos indiquèrent un certain embonpoint. J’observai le
couple se débattre. Il caressait ses poignées d’amour, elle frôlait son torse
tout en sautillant sur son sexe raide. Je ne trouvais rien de drôle à la scène,
mais au moment de m’éloigner de la porte, je réalisai avoir déjà vu les cheveux
longs de cette femmes. De même, son dos rappelait quelqu’un.
-
A
mon tour, dit la jeune femme qui me bouscula pour espionner de nouveau.
Le
contact de sa main froide glaça la peau de mon bras. Je la regardai tout en
réfléchissant sur ce couple, notamment cette femme qui me disait vaguement
quelque-chose. La blonde exprima quelques mots mêlés d’envie et d’humour. Puis,
à ma demande, elle laissa la place.
A
peine ai-je eu le temps de coller mon œil contre la serrure que je vis l’homme
se lever et courir la bite à l’air dans ma direction. Je pris peur et partis me
cacher dans le lit en criant : « Il arrive ! ». La jeune femme m’accompagna. Ainsi nous
restâmes bêtement cachés sous une couette qui ne permettra pas de nous protéger
de la colère de l’homme. De plus, je fus doublement troublé car non seulement,
je crus apercevoir le visage de Tatiana lorsque la femme tourna la tête, mais l’homme
me ressemblait énormément.
-
Ce
n’est pas Joseph ?
-
Chut !
Répliquai-je.
Il
demeura un moment sur le seuil de la porte entre les deux chambres. Il écouta
le silence ambiant de la chambre malgré notre respiration angoissée et le
froissement du tissu recouvrant nos corps. Je m’interrogeai, me rappelant avoir
été dérangé dans cette situation le lendemain de la crémaillère. Par ailleurs,
la jeune femme ne sembla pas apeurée, questionnant sur ma présence et si c’était
Joseph.
Le
parquet craqua brusquement sous les pas de l’amant. Il approcha du lit, s’arrêta.
Je sentis mon cœur exploser tellement la peur envahit mon esprit. Je m’attendais
à me battre, à devoir rendre des comptes, à rien car je me rappelai tout à coup
que le jour où j’avais levé les draps du lit, il n’y avait personne. Je ne
pouvais pas y être ! Mais ou serais-je passé ?
Le
souffle de l’homme se fit plus fort mais aussi plus énervé. Il tendit la main,
attrapa le bord de la couette et la leva la faisant voler par-dessus nos corps.
Je préférai fermer les yeux, espérant ne pas à répondre à mon double ou je ne
sais qui. Puis, après quelques mots, j’ouvris les paupières et fus troublé de
me trouver avec un étranger ; littéralement, un étranger.
-
Joseph !
Enfin ! Où étais-tu passé ?
La
jeune femme à moitié dévêtue se précipita sur un homme portant une blouse
blanche avant de l’enlacer et de l’embrasser goulûment. Pendant ce temps, il me
dévisageait d’un regard à la fois surpris et furieux. Il se demandait ce que je
faisais ici. Sous sa blouse, je remarquai les bottes ainsi qu’un pantalon d’uniforme.
Je sortis rapidement du lit faisant face afin de ne pas prendre d’éventuels
coups. Il m’étonna par son accent presque parfait quoi qu’il trahît son origine
germanique.
-
Qui
êtes-vous ? demanda-t-il d’abord en allemand avant de répéter en français.
-
Arthur
Lantier, et vous ?
-
Ici,
je donne les ordres. Je pose les questions et vous répondez. Compris ?
-
J’aime
bien savoir avec qui je discute, réagis-je. Surtout que vous êtes chez moi !
Il
fronça les sourcils avant de regarder la jeune femme et de l’éloigner. Puis, il
posa la main droite sur son ceinturon prêt à dégainer un pistolet rangé sur le
côté. Je fis un pas en arrière tout en levant les mains.
-
J’ai
acheté la maison il y a bientôt un an, affirmai-je. J’ai les papiers qui sont
rangés dans un tiroir au rez-de-chaussée. Mais j’aimerais savoir qui vous êtes,
si vous le permettez.
-
Et
quand avez-vous acheté cette demeure ? C’était un bordel avant d’être
réquisitionné, grommela-t-il.
-
Comment
ça réquisitionné ? interrogeai-je.
-
Oui,
juste après votre défaite et la reddition de votre état-major en juin 1940.
Je
restai ébahi par ses propos. Cela n’était pas possible mais j’étais en présence
d’un homme disant vivre dans la maison depuis 1940. Je toussai légèrement. Il
remarqua mon teint soudainement blanc. Aussi, il demanda si j’allais bien.
-
Je
suis docteur. Docteur Joseph Von Meiderich et capitaine dans la Wehrmacht
L’homme
aux cheveux courts poivre-et-sel claqua des talons par habitude ou par
politesse. Puis, il réitéra sa question tout en gardant la main sur le Luger.
Dès lors, je me sentis obligé de donner une certaine réalité incompréhensible.
-
J’ai
acheté cette maison au XXIe siècle. Pour vous ce sera dans quatre-vingts ans.
Je ne sais pas quoi ajouter ou donner comme explication. Mais pour moi, vous
êtes du passé dans l’histoire.
L’officier
se mit à rire puis il sortit son arme prétextant que j’étais dément. Il m’ordonna
de sortir de la chambre après avoir levé les mains au-dessus de la tête. Mais à
peine étais-je dans le couloir que j’entendis un boucan terrible comme une
porte qui venait de claquer précipitamment. Je regardai au bout du couloir et
remarquai des silhouettes d’enfants qui me dévisageaient. Ils ne bougeaient pas
m’observèrent tel un animal dans une cage d’un zoo. Je tournai la tête pour
signaler au soldat la présence des enfants. Seulement, je restai stupéfait en
découvrant la chambre entièrement vide. Le couple avaient disparu. Par contre,
les enfants étaient toujours présents, regardant dans ma direction. La voix d’une
femme intervint sortant le petit groupe de leur torpeur. Ils se précipitèrent
vers les escaliers où ils disparurent à leur tour.
Un
nuage passa en vitesse devant la lune pleine ne la cachant uniquement pour
mieux la faire briller. J’étais seul dans le couloir, les mains toujours en l’air.
Je décidai de les baisser en me demandant pourquoi un soldat allemand quoi que
médecin foutait dans une maison remplie de fantômes.
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